Le grand écran s’anime, et chacun peut se remémorer – ou découvrir – le début de cette grande aventure: La création des Bengalis qui deviendont plus tard le Choeur Mixte du Confluent.
Instants d’émotions partagées quand nous revoyons Pajean et Manou qui ont toujours soutenu cette « folie de jeunesse » (selon l’expression d’Annick) ainsi que de jeunes ados (ils n’ont pas eu besoin cette fois-ci d’autorisation parentale pour se joindre à nous) qui partagent déjà ces valeurs propres au C.M.C et qui se sont transmises jusqu’à présent.
Un buffet accueillant nous attend, et voici le moment venu de nous restaurer et de partager avec nos voisins de table tous les souvenirs évoqués par les 5 films (1 pour chaque décennie) qui vont se succéder tout au long de la soirée.
Bon nombre d’entre-nous se relèvent à chaque nouvelle séquence, pour ne rien perdre de cette étonnante rétrospective préparée de longue date (quel travail!) par Annick et Jean-Pierre…Quelle chance avons-nous de disposer, grâce à eux, d’autant de documents!
Cinq grandes séquences donc, que nous avons eu la volonté d’illustrer par nos chants et animations…
Une nouvelle version de « la chorale des gens heureux », « le Corbeau et le Renard » en patois savoyard puis chanté, « les jeunes années » des sopranes, les « mardi soir » de Fredérique, Anne et Jean-Marie (les 3 enfants d’Annick et Jean-Pierre), « les Palétuviers », un beau Compliment, une version quelque peu adaptée de « La Pavane », « Les gars de la chorale », « Cadet Roussel », l’intégration dans la chorale des « Nouvelles Alti », le remise du « Basilic du Sacré C(h)oeur » ont été autant de moments de nous réjouir..
Le tout bien sûr, entrecoupé de chants – dont certains « tubes » du C.M.C.
Cette soirée ne pouvait se terminer que par l’Alleluia du Messie de Haendel, chanté par tous les choristes (anciens et actuels) présents… Annick, tout en nous dirigeant, pouvait contempler le chemin parcouru…
Voilà! c’est fini…Sommes nous tristes ?
Non! Ce fut une journée mémorable!
Et puis, nous repartons plein d’énergie, car tout comme Annick et Jean-Pierre, nous avons bien écouté la leçon:
Pour longtemps encore, qu’on se le dise:
Le mardi soir, y’a chorale